
Bande de violons populaires de rue, en passacarrièra, la Còla’ophane tourne et détourne le répertoire de chant à danser des Cévennes.
Les cordes des violons s’emmêlent avec les cordes vocales, la Còla’ophane, qui donne aussi de la voix, aime partager la musique des vallées cévenoles avec d’autres chanteurs.

Mais la Còla aime s’inventer une famille et échanger bourrées et rigodons avec les cousins de l’Auvergne et des Alpes.
